Départ de l’Australie, et je suis déjà en train de voler sur un tapis de nuages !
Etonnamment, l’administratif à l’arrivée sur le territoire et la récupération du bagage en soute ont été plutôt rapide ! Reste plus qu’à trouver un taxi pour m’emmener au backpacker que j’avais réservé à Kuta. D’une simplicité également, car ce sont eux qui viennent à toi ! Le prix de la course m’avait été donné par le backpacker, donc les premières négociations ont été serrées !
Le premier jour, réveil par la lumière de la pièce où les lits sont alignés, et il est temps de voir un peu que faire de la journée. Après un petit déj’ de pancake fraichement cuisiné, je prends les tongs en direction de la plage ! Le backpacker n’a plus de carte, donc le gars à l’accueil m’explique brièvement comment y aller, et donc bien sûr, au lieu de tourner à droite après le feu, j’ai tourné à droite au feu… Ca, je ne l’ai su qu’une fois avoir mis la main sur la carte de Kuta. J’ai donc marché un bon moment sur une longue route droite ; en même temps, en arrivant de 10 mois d’Australie, ça me paraissait tout à fait normal.
J’ai passé la ville de Legian, puis je suis arrivée à Seminyak. Cette ville est maintenant l’endroit le plus branché de l’île, et se trouvent bien sûr tous les Aussies avec leur t-shirt Bintang, marque de bière locale. Pour moi, c’était super d’arriver là, car c’était ce que je voulais faire le lendemain, donc j’ai fait un tour du quartier et je suis passée dans les rues des magasins de grandes marques, pour finir à la plage de Seminyak.
A ce moment là, cela faisait déjà 2 heures que je marchais, avec mon mal de dos, il était temps de me reposer un peu sur une chaise longue. Malheureusement, ce n’est pas reposant avec le va-et-vient permanent de balinais souhaitant vendre tout ce qu’ils ont sur eux…
Retour à la marche pour aller en direction de Kuta, et voir Poppies Lane I et Poppies Lane II, des rues très réputées. J’étais déjà très contente de toujours être en vie dans ce trafic routier… Et je l’étais davantage d’être sortie en un seul morceau de ces 2 rues : très étroites, pleine de boutiques de part et d’autre, avec les vendeurs réclamant toujours plus d’attention et d’achat dans leur boui-boui, et le flot permanent de scooter… Malgré tout, cela en vaut l’expérience !
Dans l’après-midi, j’ai compris comment les gens traversent ici ! En fait, il faut essayer de trouver des passages piétons, mais c’est plutôt rare, puis prendre son temps, ce qui fait que je me retrouve encerclée de scooters et de voitures pendant la traversée ! La première fois, c’est vraiment flippant, et après ça devient marrant !
Retour un peu plus chaotique pour retrouver le backpacker. Je n’avais comme indication pour rentrer qu’une longue avenue, la Sunset Road ; la rue du backpacker où j’étais n’était pas sur la succincte carte en ma possession ! C’était un peu comme marcher sur une nationale, avec un trottoir de temps en temps et un bruit incessant de klaxons de taxi, demandant si je souhaite un transport motorisé.
Lorsqu’il y a des trottoirs, il peut arriver qu’il y ait d’énormes trous dans le béton, qui mènent tout droit à une évacuation d’eau, ou quelque chose ressemblant à un amas de déchets… Pas très rassurant, il vaut mieux regarder où l’on met les pieds !
Arrivée seine et sauve à l’issue de cette première journée, il est déjà temps de mettre le répulsif à moustiques à la tombée de la nuit. Quelques rencontres au backpacker, et le lendemain sera de nouveau riche en aventures !
Des bisous
PS : Point météo : petit choc thermique en passant de 14°C le jour à Greenvale à 27°C la nuit sur l’île. Quel bonheur !
« En arrivant de 10 mois d’australie, ça me parraissait normal.. » haaahaa 😀 😀
voici encore d’autres expériences et découvertes !!!….
d’autres photos j’espère.
bisous et à bientôt la suite …